IL RACONTE…
« En découvrant la sophrologie, j’ai appris beaucoup de choses sur moi, sur ma façon d’être sur le court, et puis cela a bien entendu débordé sur ma vie personnelle.
Mais au départ, les résultats sur le court étaient vraiment flagrants. L’expérience consistait à apprendre à se relaxer, à se retrouver en situation. J’avais des images dans la tête. Des choses médiatiques liées à un sentiment d’injustice. J’avais souvent l’habitude d’avoir le public avec moi, et quand je le sentais hostile, je ne me sentais pas bien. Ou alors une faute d’arbitrage, ou jouer contre quelqu’un que j’aime ou contre quelqu’un que je déteste.